L’être humain se caractérise par trois dimensions : une dimension physique, une dimension intellectuelle et une dimension émotionnelle.
Pourquoi négliger la dimension émotionnelle ?

POURQUOI UN PRÉPARATEUR MENTAL  ?

Aujourd’hui, l’humain évolue dans un monde incertain, traversé par des mutations violentes et des crises multiples. Les valeurs traditionnelles sont battues en brèche, le sentiment de précarité et la souffrance se répandent.

L’être humain subit un stress quasi-permanent. Le premier signe tangible est le sentiment que tout s’accélère. Il en résulte une sensation de vertige, voire un syndrome dépressif ou un burn-out. Nous sommes pris dans la course du temps qui s’accélère et essayons de dominer le flot continu d’informations qui nous assaille. Pour éviter de perdre la joie de vivre, il est possible d’apprendre à se positionner autrement dans l’existence, à passer du temps horizontal (celui de l’accumulation des informations) au temps vertical lié à l’essence profonde de l’individu.

 

Le préparateur mental travaille avec vous à nourrir, réhabiliter et utiliser votre intelligence émotionnelle afin de retrouver sécurité,  joie et anticipation. Il vous aide à transformer la souffrance, à sortir des schémas habituels pour développer un sentiment de sérénité active.

La méthode Panthrax

Les origines de la méthode Panthrax

Ancien sportif de haut niveau, Patrick Peytavi a exercé en tant que préparateur mental pendant plus de trois décennies.
Il travaille tout d’abord au sein de la Police où il accompagne les fonctionnaires en état de choc et intervient dans les quartiers sensibles, notamment auprès de la jeune délinquance. Il rencontre Alexandre Homé, avec qui il entreprend un travail d’expérimentation des phénomènes énergétiques et physiques associé à la pratique d’arts martiaux. Ses fonctions l’amènent à travailler au Laos puis en Albanie dans des contextes de forte insécurité : il y développe ses facultés à cultiver et à développer l’énergie intérieure.
À son retour en France, il décide de se concentrer sur l’utilisation de l’intelligence émotionnelle dans son activité de préparateur mental : il crée le PANTHRAX, méthode de développement personnel rapide et efficace.

L’éthique de la méthode panthrax

1

Le préparateur mental exerce en conscience à partir de sa formation, de ses capacités, de son expérience et de son vécu tout en respectant les principes éthiques qui suivent.

2

Le préparateur mental est tenu au secret professionnel pour tout ce qui concerne l’identité des personnes accompagnées, le contenu des séances et des échanges, les difficultés rencontrées et les résultats obtenus.

3

Le préparateur mental respecte la dignité, la liberté, les convictions, les valeurs morales et les croyances religieuses de la personne qu’il accompagne. Il s’abstient de tout jugement. En revanche, il reste libre de travailler ou non avec une personne en fonction de la nature de la demande et de ses propres valeurs, convictions et liberté de pensée.

4

Conscient du lien qui s’établit entre lui et la personne accompagnée, le préparateur mental s’interdit d’exercer tout abus d’influence. Il s’engage à une neutralité loyale et bienveillante.

5

Le préparateur mental attire l’attention de chaque personne sur sa propre responsabilité et sur la nécessité d’une coopération active dans le travail réalisé.

6

Lorsque la demande d’accompagnement émane d’une organisation (entreprise, centre de soins…), le préparateur mental s’assure que la personne est d’accord avec la mise en place de l’accompagnement.

7

Avant tout début d’accompagnement, le préparateur mental expose de façon claire et précise quelles sont 1) la méthode de travail, 2) les conditions de l’accompagnement, 3) les modalités financières. En cours d’accompagnement, toute personne à jour de ses règlements est libre de mettre un terme à son travail avec le préparateur mental.

8

S’il l’estime nécessaire, le préparateur mental peut interrompre l’accompagnement en concertation avec la personne concernée.

9

Il est entendu que le préparateur mental laisse l’entière responsabilité de ses décisions et de ses actions à la personne accompagnée.